D’après le roman de Stefan Żeromski, Histoire d’un Péché est le seul film de fiction polonais de Borowczyk. Grażyna Długołęcka, dont ce sont les débuts, joue le rôle de Ewa Pobratyńska, héroïne victime condamnée à l’avance dont la passion pour un étudiant en anthropologie l’emmène dans un voyage périlleux au travers d’une Europe du début du XXe siècle. Vision critique de l’hypocrisie de l’Eglise Catholique, Histoire d’un Péché compte comme le film le plus passionné de Borowczyk. Tourné presqu’entièrement à l’épaule par le maitre Zygmunt Samosiuk (qui fait une brève apparition avec Borowczyk en travesti), Histoire d’un Péché est accompagné magnifiquement par le concerto pour violon de Mendelssohn. Il a remporté un grand succès public et critique en Pologne et à l’étranger. Sélection Officielle au Festival de Cannes 1975.

A finales del siglo XIX, la ciudad de Lodz se ha convertido en el epicentro de la industria textil, con la consiguiente necesidad de mano de obra inmigrante. Tres jóvenes estudiantes de Riga: un polaco católico, hijo de nobles terratenientes, un ambicioso judío y un alemán luterano deciden abrir una fábrica en esa ciudad para hacer fortuna y, sin escrúpulos ni prejuicios, se lanzan a acumular dinero y poder. (FILMAFFINITY)

Siglo XVII. Guerra civil entre Polonia y Ucrania. En medio de la sublevación de los cosacos, un coronel se enamora de una chica prometida... Un film épico de corte romántico-aventurero publicitado como la película que, en Polonia, superó a "Titanic" en recaudación

La película cuenta la historia biográfica de Karol Wojtyla, comenzando en 1926 en Polonia: muestra la invasión nazi a ese país, y la vida de Wojtyla como sacerdote, obispo y cardenal, hasta que finalmente es nombrado papa con el nombre de Juan Pablo II.

Los habitantes de una pequeña ciudad se congregan en la plaza donde se ahorcará a un cuatrero. Esto sólo forma parte de una película que se está rodando. Entre los miembros del equipo se encuentra un médico enfermo de cáncer, quien ha perdido la esperanza de curarse y se prepara para la muerte...

Varsovia. Un taxista está lavando su coche. Jacek, un joven campesino de mirada turbia, vaga por la ciudad. Piotr, un estudiante de derecho, se prepara para hacer su último examen. Sus destinos se cruzan cuando Jacek coge un taxi para ir a los suburbios de la ciudad, donde asesina brutalmente al taxista golpeándolo con una piedra.

Enfrentándose a un futuro incierto, Witek, un joven polaco estudiante de medicina, decide interrumpir temporalmente sus estudios y coger un tren e ir a Varsovia.

Un célèbre journaliste polonais présente un problème pour les pouvoirs en place lorsqu'il affiche ses compétences et ses connaissances politiques dans une émission de télévision présentant des questions et réponses lors d'une conférence mondiale par un panel de journalistes. Ses ennemis lui enlèvent ses privilèges quand il est absent. Le choc d'être «indésirable» correspond à une déception plus profonde dans sa vie privée: sa femme a une liaison avec un jeune rival jaloux, et après 15 ans de mariage et deux filles veux divorcer.

"No matarás": En una Varsovia gris, vacía, pobre y triste, Jacek, un joven sin perspectivas ni futuro, asesina brutalmente a un taxista. Quinto de los diez mediometrajes, cuyo nombre genérico es "decálogo", realizados para la televisión por el director Krzysztof Kieslowski y el guionista Krzysztof Piesiewicz. Cada uno de ellos se inspira en uno de los Diez Mandamientos. Este episodio es una versión de la película "No matarás", de 1988, realizada por el mismo equipo.

A Lisbonne, un homme s'effondre en regardant des fresques. Conduit par son épouse Anna dans un service psychiatrique, le syndrome de Stendhal est diagnostiqué, résultat d'une surcharge émotionnelle due à la vision de trop d'oeuvres d'art en trop peu de temps. Le patient, Paul Marcovic, est confié à une jeune interne, le Dr Giordano. Elle apprend, au cours des entretiens suivants, que Marcovic est en fait un ex-tortionnaire d'un pays de l'est, qui a torturé et violé pendant six années et qui depuis tait ce passé sulfureux. Elle le considère comme un criminel et repousse Wladimir, venu visiter Paul à l'hôpital et en parti responsable de son passage dans ce "service de sécurité". Paul reste seul face à sa conscience.

En 1929, un homme retrouve la maison où, quinze ans plus tôt il passa un été avec cinq jeunes filles.